Poèmes et écrits

Même parfois littéralement écrasés par la chaleur

Piqués par des hordes de moustiques affamés et déchaînés

La Guadeloupe reste terre basse et grande, hospitalière

Les guadeloupéens souriants heureux sous le soleil,

et nous avec eux, dans l'eau des rivières, des cascades, des bassins et des mers,

agités ou calmes, caraïbes ou atlantiques

A l'ombre des grands arbres, cocotiers, palmiers, arbre du voyageur, prèt à

ouvrir ses feuilles pour abreuver le vacancier.

Tel est le guadeloupéen, qui ouvre son coeur, partage l'amour de son île,

nous en dit la beauté quand les adjectifs nous manquent pour en parler.

D'ici la Guadeloupe est terre de loin... nous y avons laissé, famille et amis et pensons à eux, à la fois

d'après, aux retrouvailles.

Restent les odeurs de fruits de la passion et la douceur de la peau modelée par le sable.