Contes
Mais où est passée la cour
Celle qui a vu chaque jour
Nos ébats d’enfants innocents
Courant après le vent
Tombe la neige et recouvre
Ses trottoirs et ses arbres
Au pied de la cheminée de marbre
Conter, lire et ouvrir
Des portes et des fenêtres
Aux enfants petits et grands
Qui jadis jouaient dans cette cour
A la marelle et sans paraître
Ni ne jamais souffrir en leurs êtres
Pas de parents alcooliques
Ni de femmes trop battues
Rien que sourires sous-entendus.
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