A nous les joies de la glisse
Neige en Novembre, neige en décembre
Par la fenêtre, je la vois, cette neige éphémère
Sur mon bureau « la boule qui neige »
Et si on partait glisser sur les pentes enneigées ?
Un peu de sport ne nous ferait pas de mal
Avant de nous goinfrer de douceurs hivernales.
Tiens c’est curieux sur ma peau naissent des aspérités
Mon corps ressemblera bientôt à un champ de bosses
Plus blanc que neige sans pour autant s’appeler comme
Une héroïne de conte de fées, celle par sa belle-mère détestée
La rosse ! lui fit un jour manger une pomme empoisonnée.
Prenez garde de ne pas tomber sur un os et de vous le casser.
Ce poème finit en hisse, ho hisse pour remonter la pente
Premier cours pas de tire-fesse, ni de tire au flanc
Tous les petits en chasse-neige, les étoiles se vantent
Plus loin, sur les télésièges qui les porteront au rang
Au sommet de la gloire, la plupart en contrebas, haletant
Je peine à trouver des rimes, que la côte est terrible.
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