A Caen?
Dans cette gare, ce jour-là; ce n'est plus l'été à l'université. Il pleut.
Atmosphère concentrée
Visages attentifs attentistes.
Tournés vers les panneaux d'informations. Vite, être les premiers , peurs de ne pas pouvoir
s' asseoir sur une place réservée ? D'autres courent en retard, bousculade, sans égards pour ces passagers, eux-mêmes sans doute égarés. Dans l'ensemble habitués. La musique du pianiste se perd dans le vague cancan, j'entends le pianiste frapper sur les touches, les notes du fabuleux destin d'Amélie Poulain. Elle qui a fini par franchir les barrières de son imaginaire. Pour quelle réalité! Le train entre enfin en gare. Toujours l'impression d'avoir trop attendu. Quand reverrais-je Caen? Ses vitraux, son château et son université ?
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